vendredi 5 août 2016

Rhamar Ahmed Dayak était un lien entre tous, son rire légendaire, son regard bienveillant faisaient passer les frontières, les barrières linguistiques. Tu vas me manquer mon ami, tu vas manquer à toutes celles et ceux qui t'ont croisé. Toutes mes condoléances à la famille, nous sommes à vos côtés.


C'était un homme de bien, qui a oeuvré pendant des années pour sa famille, sa communauté, ses concitoyens nigériens. Rhamar Ahmed Dayak était un lien entre tous, son rire légendaire, son regard bienveillant faisaient passer les frontières, les barrières linguistiques. Tu vas me manquer mon ami, tu vas manquer à toutes celles et ceux qui t'ont croisé. Toutes mes condoléances à la famille, nous sommes à vos côtés.
SadShow More Reactions
Comment
6 comments
Comments
LikeReply21 mins
Alain Plume repose en paix, on ne t'oubliera pas, condoléances à toute la famille
LikeReply19 mins
Fadi Walet Amine.
Repose en paix
LikeReply17 mins
Ahmed Daoud Qu'il repose en paix..
LikeReply6 mins

lundi 1 août 2016

Tombouctou: un militaire malien, Hammata Ag Oumalha, assassiné à son domicile

Studio Tamani 
TOMBOUCTOU : un militaire malien a été assassiné hier dans la nuit (31/08/2016) à son domicile à hamabangou un des quartiers de Tombouctou. Selon des témoins, le capitaine HAMMATTA AG OUMALHA a été tué par quatre individus armés sur des motos.
 
13912518_1056923704399561_7005019446836989585_n
A Tombouctou, écoutez-nous en direct sur la radio Alfarook 98.00 Fm, la radio Jamana 91.4 Fm, la radio Bouctou 98.6 Fm, la radio Issaber de Niafunké 96.3 Fm, la radio Voix de Gossi 95.00 Fm
————————–
Tombouctou est en deuil 4 individus en armes utilisant des engins à deux roues se sont pointé hier devant la maison de Hamatta à Hamabangou , un quartier populaire de Tombouctou. Ils ont abattu Hamatta Ag oumalha capitaine de l’armée malienne depuis 40 de Service.
Hamatta né vers 1955 est très connu loyaliste de l’armée malienne. Les rébellions arabo touaregs des années 1990 à aujourd’hui se sont passés l’homme a toujours resté chez lui à Tombouctou et loyaliste.
Un notable très connu à Tombouctou qui a l’habitude de recevoir chez lui plusieurs personnes venues du monde entier.
En Novembre 2003 le capitaine Hamatta présidait la commission d’organisation chameaux qui a accueilli l’ex président français Jacques Chirac lors de sa visite à Tombouctou.
Il est également un des membres actif qui s’occupe de l’organisation et du bon déroulement du festival au Désert à Essakane Tombouctou , le festival au Désert d’Essakane était classé troisième meilleur festival au monde avant le chaos dû à l’insécurité que connaît l’azawad ( Nord -Mali) depuis 2012.
Hamatta remporta plusieurs fois le prix du meilleur mehariste au festival au Désert connu pour son élégance à se tenir sur un beau chameau blanc bien élancé et bien orné.

https://www.facebook.com/mohamed.agahmedou

Il faudra qu’ils reviennent à la raison et qu’ils sachent qu’ils ne pourront pas entrer à Kidal par la force ». Avant d’ajouter : « Kidal n’est pas chez eux. Gamou et tous les autres sont de la région de Gao, alors pourquoi veulent-ils entrer, vaille que vaille, à Kidal pendant que nous sommes dans un processus de paix ?

Hamada Ag Bibi, Ifoghas bon teint, député d’Abeïbara (région de Kidal)

Le vendredi 29 juillet, aux environs de 14h, après la grande prière hebdomadaire, nous avons croisé l’honorable Hamada Ag Bibi dans les allées de l’Assemblée nationale, juste en face du groupe parlementaire ADEMA-PASJ / ASMA. Après les accolades et les salutations fraternelles, nous nous sommes retrouvés dans un coin pour échanger.Hamada Ag Bibi, Ifoghas bon teint, député d’Abeïbara (région de Kidal)
C’est un Ag Bibi très engagé, très déterminé pour la paix et la réconciliation que nous avons découvert, avec le franc-parler qu’on lui connait. Il dit souffrir dans son corps et dans son esprit de la situation sécuritaire actuelle du pays. Musulman pieux pour ceux qui le connaissent, Hamada Ag Bibi, porte-parole de la rébellion de 2006 et signataire de l’Accord d’Alger du 4 juillet de la même année, jure, la main sur le cœur, qu’il est résolument engagé pour la paix et qu’il combat tous les jours les adversaires et ennemis de la paix à Kidal.
Abordant la mise en œuvre difficile de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger, notre interlocuteur dira : « Ce qui s’est passé ces derniers jours est regrettable. L’Etat est très faible et laisse se développer un communautarisme armé. Les Peulhs sont armés, les Imghads également, les Bellas se préparent et d’autres vont les imiter. Cela est hautement dangereux pour l’unité du pays. Nos frères Imghads se trompent de combat. Ils utilisent les moyens de l’Etat, les ressources humaines nationales notamment des éléments des forces armées maliennes pour nous combattre.
Il faudra qu’ils reviennent à la raison et qu’ils sachent qu’ils ne pourront pas entrer à Kidal par la force ». Avant d’ajouter : « Kidal n’est pas chez eux. Gamou et tous les autres sont de la région de Gao, alors pourquoi veulent-ils entrer, vaille que vaille, à Kidal pendant que nous sommes dans un processus de paix ? A l’heure de la décentralisation et de la régionalisation, que chacun aille chez soi pour aider sa communauté à sortir de la pauvreté et à amorcer les chantiers de développement ».
Kidal appartient-elle aux seuls Ifoghas ? Ag Bibi répond : « Toutes les communautés vivent à Kidal. Il y a des Imghads à Kidal. Mais Gamou, ses lieutenants proches et la branche politique de Gatia ne sont pas de Kidal. Nous n’avons rien contre les Imghads qui vivent parmi nous. La preuve, c’est que lors des récents évènements entre nos deux communautés, l’ancien maire de Kidal, Imghad bon teint, était dans la ville.
Ce sont des combattants de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) qui sont allés le chercher à son domicile pour le confier à la MINUSMA afin d’éviter que des éléments disparates le touchent ou l’inquiètent de quelque manière que ce soit. C’est ainsi qu’il a été évacué vers Bamako. Nous n’avons rien contre les Imghads. Nous avons toujours vécu avec eux en parfaite intelligence. Qu’ils reviennent à la raison. Ce sont nos frères et nous allons nous comprendre. Mais s’ils restent dans une posture offensive, nous allons nous défendre et ils ne pourront jamais entrer par la force, encore une fois de plus, à Kidal ».
Au moment où nous mettions sous presse, il nous est revenu que les combats ont repris aux environs de Kidal, entre Ifoghas et Imghads. Ces derniers entendent entrer à Kidal qu’ils considèrent comme chez eux. Les autres les en empêchent. Hamada Ag Bibi dit, haut et fort, que ses frères, les Imghads, ne peuvent pas entrer par la force.
Or, c’est ce qu’ils sont manifestement en train de tenter. Alors, où sont les bonnes volontés pour intervenir afin que les fils d’un même pays ne s’entretuent pas ? Où est donc la médiation internationale ? Où est la MINUSMA pour s’interposer en protégeant les populations civiles, conformément à son mandat ? Où se trouve l’Algérie, maitre d’œuvre de l’Accord de paix et de réconciliation ? Elle est aphone quand les problèmes apparaissent au grand jour. Et plus tard, elle viendra jouer au pompier. A suivre.
http://malijet.com/actualte_dans_les_regions_du_mali/rebellion_au_nord_du_mali/162123-hamada-ag-bibi,-ifoghas-bon-teint,-d%C3%A9put%C3%A9-d%E2%80%99abe%C3%AFbara-r%C3%A9gion-de-k.html

dimanche 31 juillet 2016

Le combat de Tinariwen et les revoltes Touareg

Mali, Libye, Niger : l'armée française en première ligne contre les djihadistes

Par Michel Lachkar@GeopolisFTV | Publié le 30/07/2016 à 15H51, mis à jour le 31/07/2016 à 13H05
  • A+
  • A-
  • Print
Soldats français l'opération Barkhane en patrouille à Tombouctou
Soldats français de l'opération Barkhane en patrouille à Tombouctou.© Reuters/ Joe Penney
Le 1er août 2014, l’armée française lançait l.’opération Barkhane pour lutter contre les groupes armés au Sahel. Deux ans plus tard,la sécurité semble rétablie au Mali, à l’exception de la vaste zone désertique où se cachent les narco-trafiquants djihadistes. Mais la dissémination en Afrique de l’Ouest des 3000 combattants de l’EI susceptibles de quitter le terrain libyen inquiète les observateurs.

L’opération Barkhane a élargi aux pays sahéliens la mission Serval lancée en 2013 par la France pour stopper l’offensive djihadiste qui menaçait la capitale malienne. Le dispositif de renseignement, d’observation par drones et de frappes des groupes armés, mis en place par Paris, a permis de mettre hors de combat, en deux ans, 240 combattants (tués ou arrêtés) d'Aqmi (Al Qaida au Maghreb islamique) et d’Ansar Dine.

Des résultats contre le terrorisme
L’arrestation, le 27 juillet 2016, d’un des chefs d’Ansar Dine est une prise de taille. Mahmoud Barry, dit Abou Yehiya, est à l’origine des nombreuses attaques contre les forces armées maliennes, dont celle du 19 juillet 2016 qui a tué 17 soldats à Nampala (près de Ségou, au centre du Mali).
Implantation force militaire française Barkhane au Sahel
Implantation de la force militaire française Barkhane au Sahel © Carte de l'Etat-Major des Armées (mars 2016)
 
Les 3000 soldats français, positionnés au Tchad, Niger, Mali, Mauritanie et Burkina Faso, et aidés par les 11 000 casques bleus de la Minusma (Mission des Nations Unies au Mali), ont réussi à rétablir un semblant de sécurité dans la région.

La menace ne faiblit pas
La situation reste néanmoins fragile, avec plus d’une centaine d’attaques d’Aqmi et de ses alliés recensées en Afrique de l’Ouest depuis janvier 2016, dont plusieurs attaques contre des hôtels à Ouagadougou, Abidjan (Grand-Bassam) et Bamako.

Dans la région de Gao (nord du Mali), le Mujao et Ansar Dine, bien qu’affaiblis, poursuivent leurs attaques sporadiques contre les forces de la mission des Nations Unies. Plus de 80 casques bleus sont tombés au Mali depuis 2013.

Dans le nord du pays, des zones entières, difficilement accessibles, échappent encore au contrôle des forces maliennes et onusiennes. Malgré la signature d’un accord de paix censé isoler la rébellion touareg des djihadistes, l’irrédentisme touareg persiste dans la région de Kidal (nord-ouest du Mali).

«Al-Qaïda et ses alliés Ansar Dine et al-Mourabitoune conservent la capacité d’opérer ouvertement au Mali. Et contrairement aux années précédentes, ces groupes ont été en mesure de frapper dans toute l’Afrique de l’Ouest», constatele Long War Journal, qui craint que 2016 soit l'année la plus meurtrière depuis 4 ans.

Ecusson l'opération militaire française Barkhane
Ecusson de l'opération miliaire française Barkhane lancée le 1er Août 2014 © AFP/ Miguel Medina

L'inquiétude libyenne
L’inquiétude vient aujourd’hui des combats dans le nord de la Libye qui pourraient pousser près de 3000 combattants de l’EI à quitter le théâtre libyen pour se disperser en petits groupes dans tout le Sahel et se fondre dans ces zones désertiques faiblement contrôlées.

Dans un rapport présenté le 15 juillet 2016 devant le Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU affirme que «la défaite de l’EI à Syrte semble être à portée de main, ce qui pousse de nombreux combattants à fuir vers le sud de la Libye et vers la Tunisie. D’autant que Syrte est considérée comme l’un des principaux bastions du groupe extrémiste en dehors de la Syrie et de l’Irak».«Des dizaines de combattants tunisiens sont retournés dans leur pays avec l'intention de perpétrer des attentats», a précisé Ban Ki-moon.

Selon ce rapport, «Mokhtar Belmokhtar, le chef d’Al-Mourabitoune, actif dans le Sahel, voyage très facilement en Libye et le chef d’Ansar Dine, Iyad Ag Ghaly, a une base dans le sud du pays».

Les forces spéciales françaises sont présentes dans le nord de la Libye, comme vient de le reconnaître le gouvernement français après la mort de trois membres de ces unités. «La Libye connaît une instabilité dangereuse. C'est à quelques centaines de kilomètres seulement des côtes européennes...Trois de nos soldats qui étaient justement dans ces opérations viennent de perdre la vie dans le cadre d'un accident d'hélicoptère. Je leur rends hommage aujourd'hui», déclarait le 20 juillet 2016 le président François Hollande  .

On le comprend, les 15 000 soldats onusiens et français, présents sur le terrain, pourraient ne pas suffire à éteindre l’incendie qui couve dans ces zones désertiques et déshéritées. Le chômage massif de jeunes toujours plus nombreux (en raison d’une croissance démographique qui fait doubler la population tous les vingt ans) risque d’alimenter le vivier des islamistes.«L’absence de travail et de revenus explique bien plus le succès des groupes armés de trafiquants de drogues et de cigarettes, que l’attrait des thèses djihadistes», affirme le chercheur Serge Michailof dans son livre au titre éloquent: Africanistan
http://geopolis.francetvinfo.fr/mali-libye-niger-l-armee-francaise-en-premiere-ligne-contre-les-djihadistes-113169

Tartit achil atakal fallanagh! Rhissa Ag Mohamed TarGui

Imghad, Ifoghas, Chamanamass, Idnan, Idoushak, Kel ensar, Imouchagh..... Un système altéré, une calamité, une pandémie et une rouille de l'époque! Nos leaders, nos chefs tribales sont plongés dans cette bévue à gogo qui continue de dévié tout un peuple "une jeunesse" à réaliser son rêve celui de se voir unir un jour. Nous devrons mettre fin à cette mentalité d'antan car un système qui ne sert pas la société est appeler fatalement à disparaitre. Mon peuple reste immobile et muet, victime de ce système favorisé et mise en place par un pouvoir qui continue de nous éreinté pour mieux régner. Ma jeunesse est tractée par ce tribalisme, une jeunesse inspirée, ambitieuse déterminée mais appréhendée. C'est un effondrement lorsqu'on voit, attend et relit sur internet la haine, la méfiance et l'intolérance des jeunes nés d'hier mais qui vivent dans une époque d'il y'a des siècles. L'épée, l'arme entre les dents, intolérants et violant comme des tribus affamés par le désert. Mon peuple Kel Tamashak, sombre dans la démangeaison, une bourde de nos leaders et chefs tribales. L'ignorance est au cœur de ce fléau, le manque de sensibilisation en reste un autre...Oui à une jeunesse unie, vaillante, prête à tout enterré et plaidé pour un avenir meilleur, un avenir de cohésion sociale, d'humeur rieuse, un avenir certain sans complexe de supériorité car il ne peut y avoir de progrès que là ou il y'a une jeunesse unie et consciente! Hessol, c'est un alarme, un appel à ma jeunesse pour mettre de coté cette mentalité qui n'est plus de jour et faire face à l'intérêt commun à fin de sauvegardé notre très chère identité et prévenir la destruction de notre tissu social.
Tartit achil atakal fallanagh!
Rhissa Ag Mohamed
TarGui
Sad
Comment

Situation à Kidal Déclaration de l’ODTE-TANAT


Abdoulahi Attayoub
1 hr
Situation à Kidal
Déclaration de l’ODTE-TANAT
L’organisation de la Diaspora Touarègue en Europe (ODTE)/TANAT exprime sa plus vive préoccupation face aux derniers événements de Kidal et les différentes violations des droits de l’Homme constatées sur le territoire de l’Azawad. L’ODTE-TANAT tient à témoigner son entière solidarité avec les familles endeuillées et leur présente ses condoléances les plus attristées.
La crise que traverse actuellement l’Azawad notamment à Kidal, appelle une réaction réfléchie et appropriée afin d’éloigner ceux qui cherchent par la ruse et la manipulation à empêcher l’émergence d’une entité politique qui constitue cependant l’aspiration légitime des populations locales. Chacun aura compris qu’il ne s’agit nullement, à Kidal, d’un conflit tribal mais bien d’une coalition d’intérêt aux objectifs multiples. Les Touaregs qui se laissent instrumentaliser contre leurs propres intérêts et ceux de leur communauté ne réalisent pas l’étendue du piège et seront les premières victimes de cette machination. L’Histoire est jalonnée d’exemples à travers le Monde. Déjà dans les années 90, le même type d’instrumentalisation avait abouti à des faits graves qui ont constitué un précédent dont les séquelles entravent encore la construction d’une cohésion durable des différentes sensibilités de l’Azawad.
L’émancipation de l’Azawad est un processus irréversible car elle correspond à la fois à une aspiration largement partagée par les populations concernées et à un impératif déterminant dans la stabilité et la sécurisation de l’espace sahélo saharien. Les communautés ethnolinguistiques de l’Azawad comprennent aujourd’hui que leurs intérêts sont liés et que seule leur unité pèsera face au Mali et à la Communauté internationale. L’expérience à montré que ceux qui se mettent à contre courant de l’Histoire finissent toujours par en payer le prix.
La communauté touarègue de l’Azawad se doit de prendre la mesure des enjeux qui se jouent dans cette partie du Monde. Les manouvres orchestrées par des acteurs locaux et internationaux, montrent à l’évidence que l’avenir se construira essentiellement avec les forces structurées sur le plan militaire et politique. Des forces capables d’élaborer un agenda politique constant, tenu avec détermination et responsabilité. Les incompréhensions et les rivalités internes à la Communauté ne devraient pas servir de levier aux forces qui cherchent à amoindrir le rôle du peuple touareg dans la sous région
Les autorités morales, religieuses et coutumières, devraient s’impliquer et apporter leur contribution pour aplanir tout différend qui puise sa source dans la survivance de certains archaïsmes aujourd’hui révolus.
Depuis l’effondrement de l’Etat malien en 2012 et la mise sous tutelle de ce pays par la communauté internationale, les choses ne pourront plus être comme avant. Seule une étroitesse d’esprit coupable pourrait laisser penser qu’il en serait autrement.
L’ODTE-TANAT rappelle à la France et à la Communauté internationale leur responsabilité dans la protection des populations civiles et leur demande de créer les conditions d’un retour rapide au dialogue politique entre les autorités Maliennes et les Mouvements de l’Azawad.
Pour le Bureau de l’ODTEParis, 2 aout 2016
Abdoulahi ATTAYOUB
Président
Organisation de la Diaspora Touarègue en Europe (ODTE/TANAT)
7, rue Major Martin 69001 Lyon
E-mail: touaregs.europe@gmail.com

Le Général libyen Ali Kanna lance un vibrant appel aux frère de l Azawad de cessez le feu entre eux frère du même sang

Alhaji Boutali Tchiwerin
, Général lance un vibrant appel aux frère de l Azawad de cessez le feu entre eux frère du même sang .
Le Général comme par hasard reviens sur mon idée de donner à nos chefs traditionnels une occasion de ramener la paix entre les frères du même sang .
Notre idée à moi ,au Général et partager par l avis de beaucoup des frères et soeurs sur les rezo sociaux ne peut avoir lieu qu avec le soutien des états concernés :Niger ,Mali ,Algérie ,Libye , Burkina Faso sans oublier la France pour organiser dans le meilleur délais une mission urgente à kidal des chefs traditionnels du nord Niger ,sud Algérie, ouest Libye et nord Burkina Faso pour éradiquer à jamais le conflits entre frères du même sang de l'Azawad. ..
Que Dieu le tout puissant ramène la paix entre les frères de l'Azawad